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Facteurs génétiques associés à la COVID-19 dans l’étude NutriNet-Santé

Publié le 13/07/2023
Contexte : La présentation clinique des cas de COVID-19 est extrêmement large, allant des formes asymptomatiques à la pneumonie mortelle. Outre l’implication de facteurs cliniques, environnementaux et liés au mode de vie, de nombreuses études pointent le rôle de plus en plus probable des facteurs liés à l’individu, et celui des facteurs génétiques en particulier.
Objectif : Le projet EpiGenCOV (Epidemiologie Genetique et COVID19) vise à étudier les risques génétiques associés aux phénotypes de la COVID-19.
Méthodes : Pour répondre à cet objectif des analyses génétiques vont être effectuées chez des cas COVID-19 et des individus témoins et des études d’associations pangénomiques (GWAS ou Genome-wide association studies) vont être conduites pour identifier les facteurs de risques génétiques associés à la sévérité et la sensibilité à la COVID-19. Les cas COVID-19 et leurs témoins seront issus de différentes cohortes dont la cohorte NutriNet-Santé. Dans la cohorte NutriNet-Santé, les cas COVID-19 et leurs témoins seront identifiés à partir des résultats des analyses sérologiques effectuées dans le cadre de l’étude SAPRIS-SERO (2020) et parmi les volontaires ayant consenti aux analyses génétiques lors du volet clinico-boologique de l’étude NutriNet-Santé (2011-2014).
Partenaires et financeurs : Le projet EpiGenCOV est coordonné par le Dr Hugues Aschard (Institut Pasteur) et est financé par l’ANR (ANR RA-COVID-19 FCHG). Les analyses génétiques seront effectuées au sein du Centre National de Recherche en Génomique Humaine (CNRGH, CEA).
 

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Vidéo Loopsider/Santé Publique France "Chaque année en France, l'alcool cause 28.000 nouveaux cas de cancers." avec la participation du Dr Mathilde Touvier

Publié le 09/03/2021
Chaque année en France, l'alcool cause 28.000 nouveaux cas de cancers.

Quels liens existe t-il entre consommation d'alcool et cancers ? Dr Mathilde Touvier répond à vos questions : 
  • Quels cancers sont causés par l'alcool ?
  • Les cancers liés à l'alcool sont-ils fréquents ?
  • Quelles sont les personnes les plus touchées ?
  • Et pour une consommation d'alcool à faible dose ?
  • Tous les alcools présentent-ils les mêmes risques ?
  • Comment prévenir les cancers liés à l'alcool ?
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Où en est le volet auto-prélèvement/test sérologique SAPRIS SERO ?

Publié le 29/05/2020
Ci-dessous les réponses à quelques questions que vous êtes nombreux à nous poser.

  • Quand allez-vous recevoir vos résultats ?
Nous n'avons pas encore de date précise à vous communiquer, toutefois sachez que les premiers échantillons NutriNet-Santé ont été envoyés au laboratoire d'analyse en début de semaine.

Ce laboratoire prenant en charge tous les échantillons des cohortes publiques françaises participant au projet SAPRIS (NutriNet-Santé, Constances, E3N/E4N, ELFE/EPIPAGE), le délai de traitement reste pour le moment indéterminé.

Comptez sur nous pour vous informer dès réception de leur disponibilité !

  • Comment ?
Notre équipe prépare déjà la restitution de vos résultats de manière totalement sécurisée dans votre espace santé…

  • Quelle est la fiabilité des tests réalisés ?
Oui, les tests que vous réalisez sont fiables ! Nous vous expliquons pourquoi…

Adaptées aux tests à grande échelle, des méthodes immunoenzymatiques « ELISA » classiques seront utilisées dans un premier temps. Ces méthodes permettent de dire avec certitude qu'un individu n'a pas développé des anticorps et qu'il est « négatif ».

Mais il y a parfois des « faux positifs ». Pour avoir un résultat fiable à 100 %, les résultats ELISA-positifs doivent être confortés par la méthode de séroneutralisation*.

C’est ce qui sera fait dans le cadre de SAPRIS SERO : tous les ELISA-positifs mais aussi des ELISA-négatifs dont la valeur est plus « élevée » feront l’objet d’une validation en séroneutralisation.

*La séroneutralisation est la méthode de référence, validée par l'institut Pasteur. Elle permet de doser les anticorps qui bloquent le virus, appelés anticorps neutralisants. Cette méthode, nécessitant plus de temps, ne peut donc pas être utilisée sur un très grand nombre de prélèvements.

  • Pourquoi n’avez-vous rien reçu malgré votre envie de participer ?
Vous avez répondu positivement à l’appel à participation à ce volet via le questionnaire dédié mais vous n’avez pas encore reçu de mail de confirmation de notre part…

Compte-tenu de la faible disponibilité de kits, nous n’avons dans un 1er temps obtenu qu'un faible nombre pour les Nutrinautes volontaires, inférieur en nombre à vos réponses positives (merci !).
Ces premiers kits dont nous disposions ont tous été attribués à des Nutrinautes répondant à certains critères de sélection particuliers (sexe, âge, région).

Nous allons, fin juin, recevoir une 2ème vague de kits, en plus grand nombre, que nous pourrons attribuer aux Nutrinautes volontaires.

Mi-juillet, au plus tard, vous recevrez un email vous informant de votre sélection pour cette 2ème vague ou non.

Toute l’équipe NutriNet-Santé vous remercie de votre patience et surtout de votre soutien à notre étude et à la recherche publique.

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25/07/2018 - Dossier Inserm

Publié le 25/07/2018

Les dents : miroirs de notre santé ?
 

Avoir des dents en bonne santé, c'est essentiel pour une bonne alimentation et un joli sourire. Mais pas seulement ! Car la cavité buccale n'est pas déconnectée du corps.

Et, comme le confirment un nombre croissant de travaux, les mauvaises bactéries buccales pourraient passer dans le sang et aller exacerber de multiples maladies à distance dans le reste de notre organisme...Dont des causes majeures de mortalité.

Heureusement, les chercheurs de l'Inserm entre autres tentent d'améliorer le diagnostic, la prévention et le traitement des troubles bucco-dentaires.
 

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23/07/2018 - Dossier Inserm

Publié le 25/07/2018

Bio-matériaux : la saga de l'Homme réparé

Des dents en bois au temps de l'Egypte ancienne aux céramiques qui renferment des cellules souches pour régénérer les os, en passant par les vaisseaux sanguins et le larynx artificiels, l'être humain a toujours tenté de remplacer des organes déficients.

Qu'en est-il aujourd'hui de la médecine réparatrice ? Quelles sont les dernières innovations ?

Quels sont les futurs biomatériaux ? A quoi vont-ils servir ?

Et quels sont les nouveaux défis que chercheurs, ingénieurs et médecins vont devoir relever, ensemble, pour réaliser les promesses de l'Homme réparé ?

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